dimanche 28 septembre 2008

Gâteaux d'époque

Dans le cadre de la célébration de ses Mille ans d'Art et d'Histoire, Vitré est devenue médiévale le temps d'un week-end. Extrait.

lundi 15 septembre 2008

Vie de prof (première)

Vie de prof, c'est un peu comme Vie de merde, sauf que ça ne parle que de prof (d'anglais en lycée pro).

"Aujourd'hui, des élèves copient le cours dans un calme très relatif. Tout à coup, une voix virile s'écrie : "On bouffe quoi, à midi ?" Interloquée, je lève la tête et réponds : "Vous n'avez pas l'air très au point sur la politesse et le respect, vous." Un autre élève me rassure alors : "Ah, mais c'était pas à vous qu'on posait la question ! VDP"

J'suis bêbête #2



Sa grande soeur est ici !!

dimanche 14 septembre 2008

Emilie

Depuis le temps que j'en avais parlé à sa maman, voici enfin un premier portrait d'Emilie. La puce a du bien changer depuis... En effet, ce portrait date de février 2008, à peine deux mois après l'acquisition de mon appareil dont la prise en mains est encore hésitante.

mardi 9 septembre 2008

Tag à Da (tsouin tsouin)

En fait, le tag, il n'est pas à Da du tout, mais à Wini. C'est juste que je craignais que "Tag à Wini (tsouin tsouin)" soit plus difficile à comprendre. (Déjà que quand je n'écris pas n'importe quoi, il y en a qui ont du mal à suivre, je vous laisse imaginer si je me lance dans l'allusion de haut vol.)
Et puis, il fallait bien que je trouve de quoi entrer en matière.

Ainsi donc, je me suis ENCOOORE fait taguer (faudrait pas que ça devienne une habitude, tout de même !).

Définition des termes (rappel pour les nouveaux et ceux qui n'ont pas bien écouté la dernière fois) : un tag est une question (ou série de questions) débile(s) qui circule de blog en blog chez les gens qui n'ont rien à dire. Donc c'est le genre de chose qui ne devrait pas circuler ici, vu que si je n'ai rien à dire, je me tais. Mais bon. Qui sème le vent récolte la tempête, c'est bien connu (alors Wini, un point partout la balle au centre : j'veux plus être taguééééée !!!)

Rappel des faits : juillet 2008 : BZH Matth me refile un tag qui ne m'inspire pas, mais alors pas du tout ; mais comme c'est BZH Matth qui me le demande, j'y réfléchis quand même (ben voui, c'est mon chouchou, et alors ?!).
août 2008 : je daigne enfin reprendre le flambeau, et en profite pour suggérer à quelques illustres bloggueurs-qui-ne-publient-pas-que-des-photos de s'y coller aussi. Entre ceux qui sont en vacances, ceux qui ne viennent plus chez moi et ceux qui font l'autruche, je n'ai vu que Wini accepter de répondre.
septembre 2008 : la vengeance de Wini

Règles du jeu : même si je n'en ai guère compris l'intérêt intrinsèque, on me demande d'ouvrir le bouquin que je suis en train de lire à la page 123, et de recopier les phrases de la cinquième à la huitième. Remarquez que ce taxi tag-ci s'adresse à des gens lettrés (comme moi) qui lisent des livres d'au moins 123 pages, et capables de recopier quatre phrases en mentionnant éditeur, auteur, titre, année de parution et tout le toutim.
Le hic, c'est que sortie de "l'anglais au Bac Pro", "l'anglais au BEP", "l'anglais au CAP", "la grammaire de l'anglais" et "l'anglais pour les nuls", je n'ai pas beaucoup de lectures divertissantes ces temps-ci. Il m'a donc fallu plonger dans les archives.

Là, j'ai commencé à dépoussiérer fébrilement des étagères quelques livres qui m'avaient particulièrement plu. N'en relire que quatre phrases à la page 123 m'a paru tout à coup si ridiculement nul que je n'ai pas voulu m'abaisser à en citer ainsi un passage choisi par les dieux du tag. J'ai alors décidé d'ouvrir, de manière méthodique, tous les livres de l'étagère jusqu'à tomber sur Première Ligne, de Jean-Marie Laclavetine, publié en 1999 chez Gallimard, lu une première fois la même année, adoré, relu quelques années plus tard, pour me demander ce qui avait bien pu me plaire au siècle dernier. Ouvert page 123, compté jusqu'à la cinquième phrase (ce qui m'amène au milieu de la page), lu les quatre concernées, estimé le passage blogable et décidé de me relancer, un de ces jours, dans la lecture des autres pages, histoire de voir si je change d'avis sur ce bouquin de manière cyclique.

Extrait : "Juste un instant, demande Cyril. Je dois m'assurer qu'on ne s'inquiète pas. Il grimpe chez lui quatre à quatre, moins pour prévenir Anita, qui à cette heure dort à poings fermés, que pour soulager sa vessie. Comme il traverse le salon, le répondeur lui lance des appels clignotants : j'ai un message pour toi, prioritaire sur les bas organes."


Moi aussi, j'ai envie de lancer des tags débiles (oups, désolée pour le pléonasme). Tiens, par exemple : levez-vous, tournez le dos à votre ordinateur, faites dix pas, tournez à droite et décrivez ce que vous voyez.

Je peux vous garantir que chez moi, ça irait vite : au huitième pas je suis dans le mur.

vendredi 5 septembre 2008

jeudi 4 septembre 2008

Cadrage pourri

Avec les mains du Christ et la couronne de la Vierge, la photo aurait été bien. Là, c'est un peu tronqué, et j'avoue qu'il ne faut pas avoir honte pour oser publier "ça". Mais je suis obligée d'avouer aussi que j'aimais bien mon idée de départ (même si j'ai cafouillé dans la mise en oeuvre), ET que j'avais envie de revoir ce ciel bleu pas retouché, pas polarisé, 100% naturel (c'est difficile à croire pour une bretonne, même d'adoption).
Et enfin, j'avais une excuse : un 100mm en main (toujours le même !!!) et pas de recul (un mètre en arrière m'aurait aussi amenée 15 mètres plus bas...).
Maintenant que je vous ai dit ce que j'en pensais, je vous laisse la parole !


Palais des Papes, Avignon, août 2008.

mardi 2 septembre 2008

lundi 1 septembre 2008

Rentrées

Ca faisait un mois que je ne les avais pas vues, ni embrassées.
Ce soir, elles sont là.


Souvenir de vacances


En ce jour un peu particulier où même ceux qui ont 15 semaines et demie de vacances par an retournent au boulot, j'avais envie de vous parler… vacances.
En bien oui, c'est comme ça. Ce matin, j'y vais à reculons, en freinant des quatre fers et j'ai des allures de cheval qu'on mène à l'abattoir. Alors autant penser à des choses agréables.

Au vu des quelques photos qui précèdent (et de toutes celles qui suivront), vous l'aurez deviné : l'été fut chaud (du point de vue climatique, n'allez pas imaginer des trucs que je n'ai pas dits non plus, rhooolala, c'est fou ce que vous avez l'esprit mal placé !). Durant mon mois d'août dans le Sud Est, j'ai pris l'initiative de faire quelques excursions sans mon guide préféré qui, lui, n'était pas en vacances. Et c'est ainsi que je me suis retrouvée sur la route menant à Orange. Ca m'a pris un peu de temps pour m'y rendre, encore plus pour y stationner. Cela dit, la commune a trouvé une méthode infaillible pour renouveler le parc automobile dans ses parkings : le prix du stationnement. A raison d'un euro la demi-heure, ça ne donne pas envie d'y rester la journée. Ainsi donc, je garai ma voiture pour la plus courte durée.

Appareil photo à l'œil (c'est bien la seule chose que j'allais avoir à l'œil en ce lieu néanmoins magnifique), je m'amusai à polariser un ciel d'une pureté saisissante et d'un bleu quasi déroutant. En route vers le théâtre antique dont je shootai les façades extérieures, je m'approchai de l'entrée, bien résolue à en franchir le portail dans le but d'aller, moi aussi, me photographier ma carte-postale-souvenir du théâtre antique d'Orange, en dépit de la durée restreinte que m'imposait mon stationnement.

Punaise, heureusement que les tarifs étaient affichés dès l'extérieur, ça m'a économisé l'énergie qu'il m'aurait fallu déployer pour monter cinq marches : 8,50€ l'entrée*, même pour ma culture, je n'ai pas pu. Tout ça pour une ruine, en plus !! J'ai donc rebroussé chemin, un peu écœurée du prix de tout dans le sud (ça fait cher le soleil, tout de même).

De retour dans ma petite voiture qui devait me ramener à mon lieu de villégiature, je me scandalisai tout à coup de voir de larges traces noires sur la chaussée, au niveau d'une voie destinée à prendre une petite route sur la gauche. Commençant à penser pis que pendre du sudiste effronté qui ne respecte rien, pas même les panneaux de direction (en moi-même, ça faisait plutôt "ils sont complètement tarés dans ce pays, ils freinent comme des malades !"), je m'aperçus alors qu'il s'agissait de la route que je devais moi-même prendre. J'ai écrasé ma pédale de frein – et je pense que j'y ai laissé un peu de la gomme de mes pneus…

PS : Celui ou celle qui a quitté la Bretagne en emportant le soleil est prié de le remettre IMMEDIATEMENT à sa place. Merci.


* Il faut savoir que sur le site de la ville, on peut voir tout ça pour pas un rond, les échafaudages en moins, ce qui ne gâche rien.