lundi 23 novembre 2009

Je suis venue vous dire que je m'en vais...




... ou plutôt, que Much Ado rentre officiellement en phase d'hibernation... pour une durée indéterminée. S'il vous reste une petite place dans votre lecteur de flux, vous pouvez toujours m'y garder, je suis cap' de refaire des apparitions sporadiques !

En tout cas, merci à vous toutes et tous qui posez fidèlement un regard bienveillant sur mes clichés d'amatrice balbutiante et souriez aux sornettes que je peux raconter entre ces murs. Vos commentaires sont toujours reçus et lus avec plaisir, à tel point que certains d'entre vous sont pour moi comme de vieux amis.

Et Michel, puisque tu en parles : non, je n'effacerai aucune ligne de ce blog, qui aura été à la fois le miroir, le témoin et le lieu-même d'une rencontre qui a changé ma vie. Much ado about (almost) nothing, c'est donc le début d'une histoire, dont je ne vais pas tourner la page. J'ouvre juste une parenthèse.

Don't forget : je ne suis pas morte, je suis ailleurs ! (à tous les sens du terme, dont ).

8 commentaires:

BZH Matth a dit…

T'as pas intérêt à disparaitre comme cela et j'ai bien l'intention de te surveiller. Chaque photo qui mérite d'être postée ici a l'intérêt à l'être, non mais :-) !!

Bon, je souhaite une longue vie à ce nouveau blog qui naît (encore une naissance) et quand je vois cette belle (mais triste) photo, je me dis que tu aurais tort de me (nous) priver de ton talent.

Tu m'as séduite, tu me séduis, toi comme tes photos.

María a dit…

Je me permets un petit, tout petit message. Je suis tombée sur ce blog par hasard - et pas en cherchant des trucs bizarres sur le net je le jure - il y a deux, trois semaines peut-être. J'ai remonté toutes les pages, toutes les photos (superbes), j'ai lu les textes, j'ai souri beaucoup, froncé le museau parfois, ri d'autres et admiré souvent. Un plaisir. Je guettais quelque chose, une apparition ; une réapparition pour être plus juste.
Alors évidemment un sourire, là, en voyant ce nouvel article, même s'il annonce une fin et que je n'aime pas les "au revoir", aussi peu définitifs soient-ils.
C'est pourquoi je me décide, je prends mon courage entre mes petites mains, essaie en vain de regrouper mes neurones fatigués pour écrire quelque chose qui tiennent la route.
Peut-être un merci suffirait-il au fond... Merci d'avoir partagé tant de douceur. Oui... juste merci.

Julien a dit…

Bonne suite ;)

BZH Matth a dit…

Vivement le printemps, parce que l'hibernation, ça dure qu'un temps...

C'est trop triste, chère DdM, les gens croient que tu ne vas pas revenir. Alors que tu dis juste pourquoi tu ne postes plus beaucoup ici en ce moment, hein... tu vas revenir ici en photo, n'est-ce pas ?!

Wini a dit…

Oh, mais pourquoi as-tu mis une photo si triste pour illustrer ta mise en veille !
(Elle est très belle, hein, la photo. Mais elle est triste...)
Enfin, ça ne m'empêchera pas de suivre tes aventures, ici ou ailleurs...

Bruno F a dit…

Ben snif.
Snif snif snif

:O(

freDeric a dit…

pas étonné.. @ bientot. Amicalement.

Michel P a dit…

Ce que je voulais écrire... c'est qu'il en est ainsi de l'inéluctable destin des cybériens.
Ils embarquent depuis leur Vladivostok virtuelle !
Maintes fois à présent, je l'ai croisé. C'est une loi de la vie. Que de surcroît, elle eut pris vie, est une belle manifestation de l'entrée dans la réalité.
Nous n'avons pas tous les mêmes chemins et n'avons en aucun cas à nous les jalouser... juste à les suivre. Et occasionnellement, se laisser aller à l'admiration, toute existence n'étant que le reflet de désirs dont la réalisation est à l'encontre de nos attentes profondes.
Toute mon affection,

Michel